Considérations entre préparer un article de blog, la lecture rapide par words-jumping, le tagging sur Internet, et la lutte contre l’échec scolaire

Hier soir, je rédigeais au propre un nouvel article, et faute de temps pour le finir, je l’ai pré-formaté avec des mots-clés, comme j’en ai l’habitude, en m’inspirant d’une technique de lecture « rapide » apprise dans un club de lecture au collège. Qui consiste à lire un texte en « sautant » sur les mots importants (que l’on apprend à visuellement reconnaitre avec l’expérience) qui suffisent à reconstituer par déduction le sens général de la phrase…

Avec cette astuce, basée sur la méthode de lecture par « words-jumping » connue depuis des décennies, je suis quasiment certain de pouvoir ré-écrire ultérieurement les phrases tel que je les avais imaginées la veille.

Vous ne trouvez pas que çà ressemble à du « tagging » bien avant l’avènement d’Internet ?!!

Ca serait un bon argument pour les professeurs qui veulent (ou doivent) apprendre cette technique à leurs élèves.

Les techniques de lecture « rapide » (par « sauts » des mots-clés, en diagonale ou en « Z », et par rétro-lecture) n’étaient pas dans le programme scolaire de ma génération.
J’espère que çà a changé pour aider les jeunes à avoir un meilleur accès aux immenses connaissances que les nouvelles technologies mettent à leur disposition…

Je trouve que d’être capable d’avaler 200 pages en deux heures contribue à avoir du plaisir à se cultiver. Et que si on réussit à transmettre le plaisir de se cultiver à un élève grâce à ces techniques de lecture « rapide », on lui aura donné le principal outil qui l’aidera dans sa vie scolaire, professionnelle, et personnelle.

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